Jean Rougerie
Tiểu sử
D’origine belge, Jean Roland Rougerie naît le 9 mars 1929 à Neuilly-sur-Seine. Rien ne semble prédestiner, tiên nghiệm, ce fils de financier à opter pour une carrière crafttique. Mais, son père ne s’opposant pas à sa vocation théâtrale, le jeune Jean tense le concours d’entrée au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris… où il est recalé. Néanmoins, Jean Rougerie connaîtra une carrière théâtrale đậm đặc, à la fois comédien, metteur en scène et directeur de théâtre. Dirigeant, notamment, le Théâtre du Château de Fontainebleau et le Théâtre Firmin Gémier, il adapte Eugène Ionesco, Prosper Mérimée, Molière, Marivaux, Louis-Ferdinand Céline, Eugène Labiche, Emile Zola, grand Dostoïevski… aborde d'abord très lointainement les plateaux de cinéma durant deux décennies, jouant pour la première fois dans «Monsieur Vincent» (1947), avec Pierre Fresnay. Ce n’est que dans les années soixante-dix qu’il s’investit sérieilities dans une carrière cinématographique. Dans «Lacombe Lucien» (1973), il interprète un ancien fl travaillant pour le compte des allemands, lors de l’Occupation. Il s’agit sans doute de l’un de ses rôles les plus importants, phim ainsi que l’un de ses meilleurs, mis en scène avec application par Louis Malle. Il campe ensuite des silhouettes furtives pourLuis Buñuel avec «Le fantôme de la liberté» (1974), puis pour Bertrand Tavernier avec «Que la fête bắt đầu» (1974). Robert Lamoureux lui offre un rôle d’officier nazi dans «On a retrouvé la septième compagnie!» (1975) avec Jean Lefebvre, puis on le voit en premier Ministerre dans «La raison d’état» (1978) de André Cayatte. Bertrand Blier sait mettre à profit sa bouille légèrement ahurie dans «Préparez vos mouchoirs» (1977), où il est le père P.D.G. d’un enfant surdoué, puis dans «Buffet froid» (1978), où il tient le rôle du témoin. Des personnages parfois cocasses, souvent inquiétants et teintés d’ambiguïté, pour un comédien au shape singulier, parfait pour des rôles de salauds.
Các phim đã tham gia
A View to a Kill
Ảnh